Choisir entre four à gaz ou électrique

L’ultime question qu’on se pose lorsqu’on doit choisir un four : choisir un four électrique ou un modèle à gaz ? Il s’agit d’un critère déterminant qu’il ne faut pas prendre à la légère. Comparons ces deux modèles pour vous aider à choisir :

• Le four à gaz : si vous recherchez un modèle économique, privilégiez le four à gaz car le coût de cette énergie est inférieur à celui de l’électricité. Qui plus est, il est moins énergivore. En plus de cela, les aliments sont cuits avec beaucoup douceur, contrairement à la cuisson à l’électricité. L’appareil est alimenté en gaz via le réseau public de gaz. Une autre option s’offre à vous, celle d’utiliser une bouteille à gaz (butane ou propane). Le four à gaz comporte néanmoins des inconvénients notamment en ce qui concerne le contrôle de la cuisson.
• Le four électrique : ce modèle est plus vendu que celui fonctionnant au gaz malgré que ce dernier soit bien plus économique. En effet, tout n’est pas question de prix, il faut aussi prendre en compte plusieurs atouts du four électrique notamment le fait qu’il peut convenir à toutes les habitations. Avec ce modèle, vous pouvez maîtriser facilement la cuisson.Quels sont les inconvénients de ce four ? Cet appareil est réputé gourmand en énergie et il consomme davantage d’électricité si son mode de nettoyage est à la pyrolyse.
  Conseil : lisez attentivement l’étiquette énergie de l’appareil pour savoir son rendement et efficacité énergétique.

Choisir entre four traditionnel, four multifonction et four à micro-ondes combinés-

La cuisinière est le modèle le plus classique, il comporte des plaques de cuisson. Les plaques de cuisson peuvent être à induction mais dans ce cas là vous devez prévoir un budget plus élevé. Le coût est encore plus exorbitant si vous choisissez le modèle avec des pianos de cuisson (usage professionnel en général). Il peut être à gaz ou à l’électricité. Quand on dit four traditionnel, on parle bien sûr de ces modèles à convection naturelle : l’appareil est équipé de deux résistances situées sur sa partie inférieure et supérieure. Ces deux éléments s’assurent de chauffer le four pendant la cuisson. Le principal atout du four classique est sa grande facilité d’utilisation exceptionnelle. Ensuite, profitez d’une puissance de chauffe excellente. Il a aussi des inconvénients dont l’impossibilité de cuire différentes recettes simultanément : les odeurs peuvent en effet, se mélanger. De plus, son utilisation demande un temps de préchauffage plus long.

Quant au four multifonction, il combine la convection naturelle et la chaleur tournante. Il est équipé d’un ventilateur qui est en charge de la circulation de l’air chaud qui servira à faire cuire les plats. Cet appareil vous offre la possibilité de choisir entre différents mode de cuisson. Avec ce four vous pouvez cuire deux plats différents répartis sur deux étages. Et ce, sans risque que les saveurs puissent se mélanger. Un des plus grands atouts de cet électroménager est de vous proposer une cuisson homogène et tendre. Un autre avantage important : le temps de préchauffage plus court, voire zéro chez certaines marques. Son seul hic réside sur le bruit désagréable émanant de son ventilateur.

Aujourd’hui, il est possible de trouver sur le marché des modèles de four avec une micro-onde. Un modèle pratique et économique puisqu’il s’agit d’un appareil deux en un. On parle même d’un appareil trois en un, qui connait beaucoup de succès, puisqu’en plus de la convection naturelle, vous pouvez vous en servir pour griller et réchauffer les plats. Vous pouvez aussi utiliser l’appareil pour décongeler la nourriture comme toute micro-onde. Cependant, on lui reproche une puissance et une capacité inférieure à d’autres types de four.

Choisir entre four à nettoyage par catalyse ou nettoyage pyrolyse

Le mode de nettoyage est aussi un critère dont il faut prendre en compte lorsque vous choisissez votre four. De nos jours, il faut choisir entre le nettoyage manuel ou le nettoyage automatique mais en général, les mode de nettoyage que l’on retrouve sur les fours sont plus pratiques et ne demandent que peu d’effort :

• Nettoyage du four par catalyse : l’appareil est équipé d’émail poreux que l’on retrouve sur ses parois. Cet élément permet de se débarrasser des particules de graisses au moment de la cuisson des plats. Le four est donc équipé d’un système auto-dégraissant prêt à fonctionner quand la température au moment de cuire les aliments excède les 200°C. Son plus grand avantage est le fait que le four se nettoie au même moment que vous l’utilisez, vous n’avez pas à fournir d’effort ou à consacrer du temps pour laver votre appareil. En présence de taches persistantes, vous devez quand même nettoyer avec une éponge. Le hic avec ce modèle c’est que le sucre peut boucher les pores de l’émail.
• Nettoyage du four par pyrolyse : les graisses et les résidus sont détruits lorsque la température atteint les 500°C. Certains modèles sont équipés de fonction appelée « pyrocontrol » les rendant capables de nettoyer l’appareil sur une durée bien définie. Et ce, en fonction du niveau de graisses et tout autre résidu se trouvant à l’intérieur du four. Le nettoyage par pyrolyse est tout à fait efficace, ce qui rend le four plus résistant au temps. Cependant, on peut lui citer un inconvénient important : sa grande consommation en énergie sachant qu’il a besoin de haute température.

Choisir un four avec ou sans technologie

Avec l’avancée de la technologie, on peut trouver un large panel de four sur le marché. Certains sont équipés de technologies innovantes, d’autre non. Bien évidemment les premiers sont plus chers mais offrent un confort d’utilisation exceptionnel. Trouvez sur le marché des appareils équipés de programmateurs performants vous facilitant la cuisson de vos plats. Certains fours plus perfectionnés comportent des programmateurs de cuisson : il ne vous reste plus qu’à choisir le type de cuisson adapté à votre recette. D’autres sont équipés de thermostat électronique offrant la possibilité de régler la température du four avec plus de précision. On peut aussi trouver des fours avec des fonctionnalités plus intéressantes : il suffit d’appuyer sur un bouton par exemple pour cuire une génoise, faire un rôti, réchauffer un plat, etc. L’appareil comporte en effets des fonctionnalités préprogrammés.

Choisir entre four posable et four encastrable

Le four encastrable

Aujourd’hui, la tendance est au four encastrable et électrique la plupart du temps. Cet appareil est plus esthétique et plus pratique. De plus, vous pouvez l’encastrer dans votre meuble de cuisine. Parfois, si vous achetez un meuble de cuisine équipé, le four encastrable est déjà inclus dans le prix. Néanmoins, il est aussi possible de l’acheter séparément. Le four peut être imbriqué dans le mobilier à condition que celui-ci soit doté d’un système de ventilation adapté et orné d’une matière résistante à la chaleur. Si vous avez déjà commandé votre meuble de cuisine, mesurez bien les dimensions de l’emplacement du four avant d’acheter votre appareil. Il peut être placé sous votre plan de travail ou bien à côté suivant l’aménagement et la décoration de votre cuisine.

Aujourd’hui, les fours encastrables se déclinent en différents modèles dont :

• Le four encastrable à convection naturelle, modèle basique
• Le four encastrable multifonction à l’air brassé ou à air pulsé
• Le four encastrable multifonction à chaleur tournante
• Le four encastrable à vapeur
• Le four encastrable connecté

Nous avons déjà vu plus haut la plupart de ces différents types de fours sauf le four à vapeur et le four connecté. Le modèle à vapeur est une nouveauté qui commence à connaître beaucoup de succès. Il peut être équipé de générateur interne ou externe, donc deux types de fonctionnement. On distingue 4 grands types de four à vapeur notamment :

• Le modèle à basse pression
• Le modèle à haute pression
• Le modèle de four combiné vapeur
• Le modèle de four micro-onde accompagné d’une option vapeur.

Quant au four connecté, il s’agit de modèle pouvant être raccordé à vos appareils mobiles (tablette ou smartphone) grâce au Wi-Fi. Ainsi, vous avez la possibilité de commander votre four à distance à partir d’une application bien définie. Le confort d’utilisation est au rendez-vous, vous n’avez pas à surveiller la cuisson car le four communique avec vos appareils mobiles pour vous tenir informé : fin de cuisson, fin de préchauffage, augmentation de la température, etc.

Le four posable

Outre le modèle encastrable, le modèle posable reste encore répandu. Il est prisé pour sa taille moins imposante (capacité 20 litres à 60 litres) et sa facilité de pose. En effet, il suffit de le poser sur votre mobilier de cuisine ou le plan de travail comme tout autre appareil électroménager. Les fours posables consomment plus d’énergie que les modèles traditionnels si l’on se réfère à leur taille, pourtant ils peuvent être puissants (puissance pouvant aller jusqu’à 2.200 watts).

Conseils pour bien choisir son four

Voici quelques conseils utiles pour bien choisir votre four :

• Choisissez des modèles avec un grand hublot pour mieux voir à l’intérieur pendant l’utilisation de l’appareil. Ainsi, vous n’avez pas à ouvrir le four à chaque fois pour contrôler la cuisson. Vous devez savoir qu’ouvrir le four pendant la cuisson peut engendrer une déperdition de chaleur importante.
• Optez pour un modèle équipé de système porte-froide pour éviter toute brûlure.
• Pendant l’achat, vérifiez que l’appareil est livré avec différents accessoires : grille, tournebroche, etc.

Privilégiez un concepteur de véranda à Metz avec des années d’expérience

Choisir une entreprise familiale avec une trentaine d’années d’expérience, par exemple, pour concevoir sa véranda, c’est bénéficier d’un savoir-faire transmis de génération en génération. Ces décennies de pratique confèrent au concepteur de véranda à Metz une expertise inégalée dans la conception sur mesure. Chaque détail est minutieusement pensé pour que le résultat final corresponde aux attentes des clients.

Par ailleurs, une entreprise familiale orchestre souvent un service client personnalisé. Il y a une réelle écoute et une volonté de créer des vérandas qui répondent vraiment aux besoins de chacun. La longévité de l’entreprise est aussi la preuve de sa fiabilité, de la qualité de ses réalisations, et de la satisfaction de ses clients.

Préférez un concepteur disposant d’un showroom

Privilégiez un prestataire comme ce concepteur de véranda à Metz qui a un showroom. Son showroom permet d’observer concrètement les différents modèles de vérandas et leurs finitions. Les clients peuvent toucher les matériaux, apprécier la qualité des menuiseries et se rendre compte des différentes options d’ouverture disponibles.

Un showroom est une preuve du professionnalisme et de l’expertise du prestataire qui investit dans un espace d’exposition permanente. Les visiteurs peuvent également y discuter directement avec des experts qui répondent à leurs questions techniques et partagent leurs conseils. Lorsque l’on se rend dans un showroom, on se projette mieux, ce qui évite les déceptions une fois l’installation achevée.

La présence d’un showroom rassure aussi sur la santé financière du concepteur de vérandas à Metz. Ce point est surtout important si l’entreprise demande une avance avant le début des travaux.

Optez pour un concepteur assurant une fabrication régionale

Préférez une entreprise qui fabrique ses vérandas en Lorraine même, par exemple, dans une localité des Vosges (88) pour les raisons suivantes :

• La proximité du client permet au concepteur de vérandas à Metz de faire un suivi personnalisé du projet et sa réactivité sera donc maximale.
• Un savoir-faire local est la base d’une conception adaptée au climat et au style architectural de la région.
• Cet ancrage territorial facilite, en outre, les échanges entre le prestataire et son client ainsi que les visites sur chantier.
• Le fabricant peut intervenir rapidement sur le chantier depuis son atelier local. Cela permet un suivi régulier pour respecter au mieux le planning établi. La proximité géographique de l’entreprise lui permet de procéder rapidement aux corrections. Puisque l’équipe connaît bien la région et ses spécificités, elle anticipe les contraintes pour limiter les imprévus et retards. La ponctualité est au rendez-vous.

Choisissez un professionnel proposant une garantie de 10 ans

Il faut déjà que l’entreprise possède un service après-vente qui fonctionne de pair avec cette garantie de 10 ans. Avec une telle condition, le prestataire vous offre la tranquillité d’esprit. Un service après-vente assorti d’une garantie d’une dizaine d’années vous fait bénéficier de réparations gratuites sur une longue période. En cas de problème, vous n’avez pas à vous inquiéter des dépenses auxquelles vous allez devoir faire face. Enfin, une garantie décennale témoigne de la confiance de l’entreprise dans la qualité de ses matériaux et de ses finitions.

Sélectionnez un professionnel polyvalent

Optez pour un concepteur de véranda à Metz qui propose :

• Des vérandas standards : les configurations classiques permettent de réaliser des économies substantielles sur son budget sans que la qualité de finition ne soit négligée.
• Des modèles sur-mesure : la possibilité de basculer vers du « sur-mesure » doit être envisagée dans une situation bien précise. Votre maison présente des particularités architecturales qui nécessitent des adaptations spéciales.

Un professionnel polyvalent dispose généralement d’une expertise plus large et peut mieux vous conseiller dans votre projet d’extension. Cette double compétence du prestataire suppose de sa part une maîtrise approfondie des techniques de conception et d’installation des vérandas.

Exemple de sur-mesure : la possibilité de commander une véranda écologique

Une véranda écologique ne va pas augmenter l’empreinte carbone de votre logement. Pour obtenir ce caractère écologique, le concepteur utilise des matériaux robustes et recyclables. Il accorde également un soin particulier à l’efficacité de l’isolation thermique de cette nouvelle pièce. L’objectif est naturellement de réduire votre consommation énergétique. Un professionnel maîtrise son art à la perfection s’il est capable de vous faire une véranda écologique alors que ce n’est pas sa première spécialité.

Les services d’un pro de la menuiserie : gage de la qualité de vos fenêtres

Si vous êtes propriétaire ou locataire, il peut arriver que vos fenêtres en bois soient en mauvais état et qu’elles n’assurent plus une bonne isolation au niveau d’une pièce. Il est également possible qu’après un choc, les vitres de vos fenêtres se cassent. Dans ce cas-là, il est recommandé de passer par les services d’un professionnel au lieu de bricoler la fenêtre. Un professionnel spécialiste de la menuiserie Ajaccio peut par exemple se déplacer chez vous, analyser les dégâts et assurer la réparation. Ce type de professionnel effectue les tâches en un minimum de temps et peut se charger de l’achat des matériaux, de la dépose de la fenêtre et du vitrage, de la réparation, et de la repose. Il vous offre aussi des services annexes comme les conseils et les SAV, en plus d’une garantie sur les travaux réalisés.

Les spécificités des professionnels en menuiserie à Ajaccio

Si vous habitez Ajaccio et ses environs, des menuisiez experts et compétents sont à votre disposition pour assurer les travaux sur vos fenêtres. Le service de menuiserie Ajaccio se déplace où que vous soyez au centre-ville, et peut même se rendre chez le client s’il se trouve à 25 km aux alentours. En fonction des dégâts, un devis sera établi pour que vous sachiez à l’avance et avec pertinence les services qui seront fournis. Le professionnel va aussi se déplacer en un minimum de temps et effectuera les opérations de pose ou de rénovation en 30 min en moyenne, en fonction des travaux à faire. Vous aurez également un professionnel qualifié qui s’équipera des outils indispensables et derniers cris pour effectuer les tâches et à un prix raisonnable. Il faut noter qu’après chaque intervention, le professionnel garantit la qualité des travaux effectués et optera pour des éléments respectueux des normes que ce soit pour le vitrage ou la mise en place du cadre en bois de votre fenêtre.

Comment chauffer la maison facilement ?

Assurez-vous d’abord d’avoir de bonnes fenêtres chez vous afin de pouvoir les fermer correctement. Elles doivent être suffisamment étanches à l’air. Pour cela, optez pour le calfeutrage en plastique ou amovible pour bien sceller les ouvertures. Sinon, essayez de colmater les fuites à l’aide d’une chemise ou d’une serviette. Ouvrez-les pendant le jour si la température extérieure est supérieure à celle dans la maison.

Envisagez également de les couvrir des feuilles transparentes en plastique pour optimiser son étanchéité. Utilisez des rideaux clairs et bon marché pour recevoir de la lumière au cours de la journée et réchauffer votre intérieur. Vérifiez si certaines zones sont ombragées et ont du mal à recevoir les rayons du soleil.

La nuit, évitez de faire circuler trop d’air dans votre foyer pour réduire les pertes de chaleur.

En outre, vous pouvez acheter des « couvercles » pour assurer le blocage de la VMC dans les salles inutilisées. De cette manière, seules les aérations dans les pièces utilisées seront mises en fonction.

Vérifier les entrées et les sorties d’air, puis allumer le feu

Vérifiez si les aérations sont toutes ouvertes. Jetez un œil sur les tuyaux de plomberie pour voir s’ils risquent de refroidir la maison. Il est également important de débloquer les retours d’air froid. Ils sont peut-être obstrués par des meubles, ce qui empêche la chaleur de circuler efficacement.

Cela dit, la pose d’un tapis peut également aider à réduire ou à éviter la perte de chaleur au niveau du sol. Songez à installer de l’isolant dans le vide sanitaire ou le grenier étant donné que la chaleur s’y échappe. En effet, l’air chaud monte, tandis que l’air froid descend.

Si vous disposez d’une cheminée à la maison, vous pouvez allumer le feu avec du bois pour chauffer la pièce rapidement. Dans le cas échéant, pensez à en installer un. Cela peut vous surprendre, mais préparer le repas peut également vous aider à rester au chaud. Vous dégusterez ainsi des délicieux plats tout en réchauffant la cuisine. Ceci étant, évitez les cuissons à la vapeur qui ont tendance à augmenter l’humidité de l’air.

Le côté ensoleillé de la maison intelligente

La commodité au domicile comme première idée

Dans une maison intelligente, vous aurez un chauffage télécommandé qui peut être allumé depuis votre lieu de travail, pour que vous soyez bien au chaud en rentrant chez vous. Il y aura également des lumières que vous pouvez allumer et éteindre depuis le confort de votre canapé, et des stores que vous pouvez contrôler automatiquement avec votre smartphone. Tout cela fait battre plus vite de nombreux cœurs.

Économiser l’énergie

La consommation et les coûts de la lumière, de l’eau et de la chaleur peuvent être économisés grâce à un contrôle et une gestion intelligente. Le contrôle du chauffage est alors le type de domotique le plus courant qui permet de réduire sensiblement les coûts de chauffage, tandis que le contrôle de l’éclairage est le premier pas vers la domotique pour de nombreux consommateurs.

Un gain de sécurité comme argument important

L’aspect le plus important est probablement la sécurité que promet une maison intelligente grâce à la surveillance numérique de nombreuses zones de la maison.
Il y a d’abord les caméras de surveillance et les détecteurs de mouvement, qui signalent si quelqu’un se faufile dans votre maison ou dans les pièces. Via le smartphone, vous pouvez ainsi jeter un coup d’œil à l’intérieur de la maison et prévenir la police si nécessaire.
D’autre part, les détecteurs de fumée en réseau alertent indépendamment les pompiers, et permettent non seulement de sauver les habitants de l’intoxication par la fumée et de la mort, mais aussi de réduire les dommages matériels.
Là où il y a du feu, il faut aussi tenir compte de l’eau – les capteurs d’humidité et les contrôleurs d’eau détectent alors les fuites, arrêtent l’eau et avertissent le propriétaire.

Une façon coûteuse d’économiser de l’argent

Outre l’aspect sécurité, les maisons intelligentes permettent également de réaliser des économies, même si l’investissement initial peut être important. Si un contrôle automatique de l’éclairage dans un appartement loué reste peu coûteux, une maison intelligente avancée offre bien plus : contrôle du chauffage, appareils de cuisine intelligents, surveillance des espaces de vie, etc. Si la domotique est prise en compte dès le début de la construction d’une maison, les appareils peuvent être alimentés en électricité par des panneaux photovoltaïques, les appareils de refroidissement et de chauffage peuvent être aussi contrôlés, en tenant compte des données météorologiques. Ainsi, bien d’autres idées peuvent être réalisées.

Maison intelligente – les inconvénients

Tant de technologie offre toujours une surface d’attaque en termes de cybercriminalité. De plus en plus souvent, nous entendons en effet parler de cas où n’importe qui peut accéder aux caméras via l’internet, parce que le mot de passe prédéfini n’a pas été modifié lors de l’installation, ou la sécurité s’effondre sous une cyberattaque.
Tout ce qui peut être contrôlé à distance dans une maison intelligente suscite également l’intérêt des pirates informatiques. Tout réseau n’est aussi sûr que le dispositif le plus faible qui le compose, alors prêtez une attention particulière à tous les aspects de la sécurité !
Il vaut alors la peine d’investir du temps dans la sécurité informatique de votre maison intelligente, pour empêcher les cybercriminels d’entrer et pour profiter réellement des avantages d’une maison intelligente.

Économisez sur les assurances avec Smart Home

Le secteur de l’assurance a en fait découvert ce nouveau foyer et offre diverses possibilités de protection, par exemple, par le biais de polices complémentaires ou d’une lettre de protection. Une protection complète est également offerte ici par une cyberassurance privée, qui sert de complément à un système de maison intelligente sûr et efficace. Un risque résiduel subsiste en effet même dans les meilleurs systèmes.
Les compagnies d’assurances proposent alors des suppléments et des compléments à l’assurance ménage sous le terme « assurance intelligente ». Cette dernière couvre les dommages causés par le cambriolage, le feu ou l’eau. D’autre part, si la maison est sûre, il y a moins de dommages et la compagnie d’assurances économise donc de l’argent. La conception varie de ce fait selon le fournisseur. D’ailleurs, certains commercialisent des polices spéciales « maison intelligente », regroupant le matériel et l’assurance en un seul paquet, et exigeant la conclusion d’une police d’assurance habitation. Ils offrent aussi des réductions sur les polices ou donnent des appareils intelligents lorsqu’un contrat est conclu.
Par ailleurs, chaque compagnie d’assurances préfère des fabricants différents. Ainsi, soit vous êtes lié à un seul matériel avec votre « assurance préférée », soit vous devez vous contenter de l’assurance correspondante en fonction des matériels qu’elle propose. Mais fondamentalement, vous devez toujours faire le calcul : il peut être plus rentable à long terme de souscrire une assurance matérielle et une assurance cybernétique séparément, plutôt que de les regrouper.

C’est quoi un terrain non constructible ?

Il existe plusieurs raisons qui peuvent expliquer cette classification :
– Le site est réservé aux tirs et aux essais militaires (entraînements physiques des soldats, expérimentation de véhicules de guerre, essais d’explosifs, etc.).
– L’espace est classé comme un site naturel ou historique (parcs nationaux, sites réservés aux études paléontologiques, etc.).
– Le périmètre est considéré comme une zone à risque dans la mesure où il est régulièrement exposé aux mouvements de terrain (séismes) ou aux inondations.
– Le sol, trop mou et fragile, ne peut supporter de lourdes charges (zones marécageuses, rocailleuses et sableuses).
– Le terrain se trouve dans une zone de déversement de déchets toxiques, ou n’est pas propice aux travaux de raccordement au tout-à-l’égout.
– Le périmètre est un cimetière.

Comment savoir si un terrain est non-constructible ?

L’un des moyens permettant d’obtenir une réponse claire et nette sur ce sujet est de consulter le cadastre. Accessible auprès de la mairie, en ligne ou au centre des impôts, ce document est nécessaire afin de connaître précisément la délimitation et l’emplacement d’une propriété. C’est également l’une des pièces administratives permettant l’identification du propriétaire d’un terrain.

Ensuite, il y a le plan local d’urbanisme ou PLU. Ce dernier est censé répertorier et délimiter les territoires préservés et classés non constructibles par les communes. Il peut notamment s’agir de zones urbaines, de zones agricoles ou d’aires protégées où la construction de bâtiments et de toutes autres infrastructures est limitée, voire interdite.

Enfin, il y a le certificat d’urbanisme qui est délivré par la mairie pour permettre au demandeur d’être informé sur les règles d’urbanisme se rapportant sur un terrain donné. Ce document est donc un élément indispensable à la réalisation et au bon déroulement d’un projet de construction (si celui-ci est autorisé). Il existe en deux versions : la première est le certificat d’urbanisme neutre, ayant simplement pour rôle d’informer le requérant sur la limitation de la propriété ou la liste des taxes y afférentes. La deuxième est le certificat d’urbanisme détaillé, qui comme son nom l’indique, apporte des précisions sur l’ensemble des données fournies incluses dans le premier certificat.

Quid de la constructibilité limitée ?

Dans certains cas, il est possible de valoriser et de vendre un terrain non constructible. Pour ce faire, consultez cette page pour trouver différents conseils pour rendre votre terrain constructible et pour savoir comment remédier au problème d’un terrain non-constructible en France ? Dans d’autres cas, le statut de non-constructibilité d’un terrain est modifié en constructibilité limitée. Cela se produit lorsque le Conseil municipal d’une commune juge que le profil du site en question présente un intérêt pour la population locale : construction d’une bibliothèque, d’une école, d’une usine agroalimentaire, ou d’un hôpital. Toutefois, il y a des sites dont la non-constructibilité ne fera pas l’objet de discussions : les terrains sur lesquels sont implantés des édifices historiques, les zones entourant un volcan actif ou autour d’un site nucléaire, etc.

Le choix du protocole domotique

Avant de choisir votre solution domotique, choisissez d’abord le protocole domotique. De quoi parle-t-on ? Il s’agit du moyen de communication entre la box domotique et les périphériques. Il en existe qui sont avec fil, d’autres sans fil, plus simples à installer. Mais il faut savoir que tous les protocoles ne parlent pas le même langage et la plupart ne sont pas capables de communiquer ensemble. Peut-être qu’on vous conseillera un protocole dit propriétaire, c’est-à-dire provenant d’un seul fabricant. C’est intéressant, mais il utilise un système fermé : vous ne pouvez donc utiliser que les périphériques proposés par ce fabricant. Si celui-ci ferme ses portes, impossible d’acheter de nouveaux périphériques.

Votre solution domotique

Le mieux à faire, c’est d’opter pour un protocole ouvert dont les périphériques sont compatibles entre eux et ceux-ci peuvent être utilisés par différents box domotiques. C’est le Z-Wave qui est le plus populaire aujourd’hui et des opérateurs importants comme Somfy et Orange s’en servent. Maintenant, pour le choix de votre solution domotique, le mieux, c’est de miser sur ces deux options : un protocole ouvert avec une box autonome ou un protocole ouvert avec une box qui repose sur le Cloud. Pour acheter votre solution domotique, rendez-vous en grandes surfaces de bricolage telles que Leroy Merlin ou Castorama ou encore dans des magasins de produits high-tech comme Darty ou FNAC.

Les causes de l’humidité

On peut regrouper trois principales causes de l’humidité dans une maison, la première est ce qu’on appelle dans le jargon du métier : les remontées capillaires. Ce sont surtout les anciennes constructions qui en sont les premières victimes. Elles sont causées par l’humidité du sol qui remonte par la capillarité si lesdites constructions ne sont pas étanches. L’humidité dans le bas des murs peut atteindre une hauteur de 1 m 50, ce qui n’est pas négligeable.

L’humidité peut également être due à l’infiltration des eaux de pluie au niveau de la construction. Souvent, cela est dû au fait que la construction a été mal achevée. Pour déterminer s’il y a une infiltration d’eau de pluie, il faut voir s’il y a des fuites au niveau de la sous-toiture et vérifier s’il y a des fissures au niveau des murs extérieurs.

Si vous n’avez remarqué aucune de ces causes chez vous, c’est peut-être que l’humidité de votre maison a été causée par la condensation. En quelques mots, la condensation c’est un fait humain. Quand on respire, on dégage de l’humidité. Mais la condensation peut aussi être due aux différentes activités dans la maison pouvant entraîner l’humidité comme la cuisine, la salle de bains, etc. Si l’air dans votre maison ne circule pas correctement, l’humidité qui s’y accumule peut causer des problèmes de condensation.

Comment y remédier ?

Pour résoudre le problème lié à l’humidité, vous disposez de deux options suivant la cause de l’humidité. Pour l’humidité ascensionnelle, vous pouvez choisir d’assécher les murs par l’injection de résine hydrophobe. Pour ce faire, faites appel à ce professionnel dans le traitement de l’humidité en Finistère (Brest, Landerneau, Morlaix, Quimper…). Vous pouvez aussi choisir la ventilation ou le traitement de l’air. Cette solution vous permet de mieux aérer votre maison plusieurs fois par jour. Vous pouvez également opter pour l’installation d’une Ventilation Mécanique Contrôlée dans les zones difficilement aérées comme la buanderie ou le sous-sol.

Les démarches administratives

L’installation d’un système de climatisation réversible nécessite de passer dans un premier temps par des démarches administratives. Suivant le type de logement et votre situation, les étapes à effectuer sont différentes. Dans le cas d’un propriétaire de maison individuelle, il lui incombe de déposer une demande de travaux auprès de la mairie, avant la réalisation des travaux. S’il s’agit d’un bien en copropriété, vous devez effectuer votre demande auprès du syndic de copropriété. Il vous faudra ensuite obtenir l’accord des autres copropriétaires, surtout si l’installation de votre climatisation implique une modification partielle de la partie commune du bâtiment. Il est toujours préférable de bien vous renseigner auprès de votre syndic de ce fait, car suivant les cas, certaines parties comme les balcons peuvent être considérées comme des parties communes ou privatives. Et enfin, un locataire doit d’abord obtenir l’accord du propriétaire avant de pouvoir installer une quelconque climatisation dans sa résidence. Si ce dernier accepte, ce sera à lui de déposer la demande de travaux auprès de la mairie ou de la copropriété. En revanche, dès lors que vous avez obtenu les accords nécessaires, le coût des travaux d’installation reste à votre charge.

Avant et pendant les travaux

Avant la réalisation des travaux, demandez à un professionnel en climatisation d’établir le bilan thermique de votre habitation. Pour en trouver un de qualifié, vous pouvez visiter https://climatisation-bordeaux-service.fr. Il intervient sur l’ensemble de la commune de Bordeaux, ainsi que sur sa banlieue.
Les endroits où seront fixés les modules intérieurs et extérieurs de votre climatisation devront être choisis avec précaution. Au moment de l’installation, le professionnel devra s’assurer qu’aucune gaine électrique n’est encastrée dans le mur choisi pour installer l’unité intérieure de la climatisation. Après y avoir indiqué les repères, il procèdera au perçage du mur, afin d’y faire passer le câble frigorifique vers l’extérieur. Il devra procéder à la fixation du module intérieur et à son raccordement avant de poursuivre l’installation depuis l’extérieur. L’unité extérieure doit notamment être fixée, soit au sol, soit au mur. Viennent ensuite les différents travaux de raccordement nécessaires, avant la mise sous tension de la climatisation. Et enfin, le professionnel procède à différents tests, afin de s’assurer du bon fonctionnement de l’appareil.

Quel budget prévoir ?

Le coût des travaux d’installation d’un système de climatisation reste très variable. Il dépend principalement de la configuration de votre habitation, du type d’appareil choisi et du nombre de modules à installer. Le prix d’acquisition d’un climatiseur multisplit composé d’une unité intérieure et extérieure se situe par exemple entre 525 et 1 400 €. Un modèle monobloc peut valoir dans les 1 100 €, tandis qu’un appareil monosplit peut coûter près de 1 650 €. Pour ce qui est du prix de l’installation, comptez environ 850 € pour une unité contre 1 100 € pour 2 unités, 1 450 € pour 3 unités et 1 800 € pour 4 unités. Notez que le prix de la mise en service du climatiseur varie aussi en fonction du nombre de modules existant. Pour un module, la mise en service peut coûter 180 € contre 275 € pour 2 modules, 325 € pour 3 modules et 375 € pour 4 modules. Ce ne sont évidemment que des prix indicatifs, étant donné que la tarification des travaux d’installation peut largement varier d’un professionnel à un autre.

Obtenir le CAP d’électricien

Pour pouvoir exercer en tant qu’électricien professionnel, il faut suivre des formations académiques en vue de l’obtention de diplômes.

Parmi ces diplômes, il y a le CAP électricien (Certificat d’Aptitude professionnelle) dont la préparation dure 2 ans dans un lycée professionnel ou dans un Centre de Formation d’Apprentis. Le CAP Préparation et Réalisation d’Ouvrages Électriques est le diplôme qui correspond au CAP électricien. La deuxième année d’apprentissage doit être accompagnée d’une formation en entreprise. Elle se fait sous un contrat d’alternance.

Il est aussi possible d’obtenir un CAP à l’âge adulte via un organisme de formation privé. Dans ce cas, vous vous présentez en tant que candidat libre.

Obtenir le Bac pro ou le Brevet en électricien

Après l’obtention du CAP, on peut aussi poursuivre par l’obtention d’un Brevet ou d’un Bac Pro électricien. Il en existe plusieurs que vous pouvez choisir selon le domaine en électricité dans lequel vous voulez exercer. Ainsi, on distingue :

– Le Bac pro MELEC pour tout ce qui est métier en électricité et en connections
– Le Bac pro Électrotechnique, Énergie et Équipements communicants
– Brevet Professionnel (BP) Installations et équipements électriques
– Brevet Technique des Métiers (BTM) installateur en équipements électriques

L’obtention d’un Bac pro ou d’un Brevet peut aussi durer entre 1 à 3 ans. Son point commun avec le CAP réside dans la possibilité de l’obtenir avec un contrat d’alternance en entreprise. La répartition de l’apprentissage peut être différente d’un établissement enseignant à un autre. Il vaut mieux se renseigner avant de s’inscrire pour un programme donné.

Mention complémentaire MC électricien

Après avoir obtenu le CAP ou le Bac pro électricien, il est intéressant de préparer une Mention Complémentaire MC en électricité. Elle permet de se spécialiser et d’attester de ses compétences pour pouvoir exercer en tant que professionnel. On peut obtenir la MC électricien en suivant une formation dans un Centre de Formation d’Apprentis. Son obtention inclut également un contrat d’alternance. La durée d’une MC électricien est de 1 an, ce qui fait que le diplôme équivaut au BAC + 1.

Il existe deux types de MC électricien : la MC Technicien en réseaux électriques et la MC Technicien en énergies renouvelables. Le choix de la MC électricien peut dépendre du Bac Pro suivi ultérieurement. Par ailleurs, il est toujours possible de se reconvertir pour exercer dans le milieu professionnel. Retrouvez sur https://electricien-paris-11.fr/ les domaines d’intervention d’un électricien notamment à Paris.

Beaucoup choisissent aussi de se spécialiser plus en obtenant un BTS en électricité. Sa préparation dure 2 ans après le Bac. Le BTS équivaut ainsi au BAC + 2. Là encore, il est aussi possible de suivre 2 spécialisations, car vous pouvez suivre une formation pour un BTS domotique ou électronique.

Il est tout à fait possible d’exercer le métier d’électricien sans diplôme, mais l’ajout de celui-ci à l’expérience permet d’évoluer dans le milieu et d’être mieux rémunéré.